pour la bannière..avant de caler..faudrait déjà que j'ai une idée précise de ce que tu veux!!!<br />
:))))<br />
animée..oui..mais avec quoi comme "bestiole"??<br />
:)
L
Loudo
10/11/2006 09:35
Sacrée Mélu... Me suis mis à jouer avec les moutons en attendant ton magnifique flash. Mais bon si tu cales, fais moi signe, comme ça on sera deux. D'ailleurs je vois pas pourquoi on s'emmerde à faire bien pour rien.<br />
Très joli le texte de Léo. Quand j'aurai rien à faire, je le lirai c'est promis. Bises.
M
melusine
10/11/2006 09:04
le spécialiste du RIEN....<br />
c'est le grand Léo<br />
<br />
cado pour vous.....<br />
et bravo aux courageux qui liront TOUT !!!<br />
<br />
<br />
il n'y a plus rien<br />
<br />
<br />
<br />
Ecoute, écoute... Dans le silence de la mer, il y a comme un balancement maudit qui vous met le coeur à l'heure, avec<br />
le sable qui se remonte un peu, comme les vieilles putes qui remontent leur peau, qui tirent la couverture.<br />
<br />
Immobile... L'immobilité, ça dérange le siècle. C'est un peu le sourire de la vitesse, et ça sourit pas lerche, la vitesse,<br />
en ces temps.<br />
Les amants de la mer s'en vont en Bretagne ou à Tahiti...<br />
C'est vraiment con, les amants.<br />
<br />
IL n'y a plus rien<br />
<br />
Camarade maudit, camarade misère...<br />
Misère, c'était le nom de ma chienne qui n'avait que trois pattes.<br />
L'autre, le destin la lui avait mise de côté pour les olympiades de la bouffe et des culs semestriels qu'elle accrochait<br />
dans les buissons pour y aller de sa progéniture.<br />
Elle est partie, Misère, dans des cahots, quelque part dans la nuit des chiens.<br />
Camarade tranquille, camarade prospère,<br />
Quand tu rentreras chez toi<br />
Pourquoi chez toi ?<br />
Quand tu rentreras dans ta boîte, rue d'Alésia ou du Faubourg<br />
Si tu trouves quelqu'un qui dort dans ton lit,<br />
Si tu y trouves quelqu'un qui dort<br />
Alors va-t-en, dans le matin clairet<br />
Seul<br />
Te marie pas<br />
Si c'est ta femme qui est là, réveille-la de sa mort imagée<br />
<br />
Fous-lui une baffe, comme à une qui aurait une syncope ou une crise de nerfs...<br />
Tu pourras lui dire :"T'as pas honte de t'assumer comme ça dans ta liquide sénescence.<br />
Dis, t'as pas honte ? Alors qu'il y a quatre-vingt-dix mille espèces de fleurs ?<br />
Espèce de conne !<br />
Et barre-toi !<br />
Divorce-la<br />
Te marie pas !<br />
Tu peux tout faire :<br />
T'empaqueter dans le désordre, pour l'honneur, pour la conservation du titre...<br />
<br />
Le désordre, c'est l'ordre moins le pouvoir !<br />
<br />
Il n'y a plus rien<br />
<br />
Je suis un nègre blanc qui mange du cirage<br />
Parce qu'il se fait chier à être blanc, ce nègre,<br />
Il en a marre qu'on lui dise : " Sale blanc !"<br />
<br />
A Marseille, la sardine qui bouche le Port<br />
Etait bourrée d'héroïne<br />
Et les hommes-grenouilles n'en sont pas revenus...<br />
Libérez les sardines<br />
Et y'aura plus de mareyeurs !<br />
<br />
Si tu savais ce que je sais<br />
On te montrerait du doigt dans la rue<br />
Alors il vaut mieux que tu ne saches rien<br />
Comme ça, au moins, tu es peinard, anonyme, Citoyen !<br />
<br />
Tu as droit, Citoyen, au minimum décent<br />
A la publicité des enzymes et du charme<br />
Au trafic des dollars et aux traficants d'armes<br />
Qui traînent les journaux dans la boue et le sang<br />
Tu as droit à ce bruit de la mer qui descend<br />
Et si tu veux la prendre elle te fera du charme<br />
Avec le vent au cul et des sextants d'alarme<br />
Et la mer reviendra sans toi si tu es méchant<br />
<br />
Les mots... toujours les mots, bien sûr !<br />
Citoyens ! Aux armes !<br />
Aux pépées, Citoyens ! A l'Amour, Citoyens !<br />
Nous entrerons dans la carrière quand nous aurons cassé la gueule à nos ainés !<br />
Les préfectures sont des monuments en airain... un coup d'aile d'oiseau ne les entame même pas... C'est vous dire !<br />
<br />
Nous ne sommes même plus des juifs allemands<br />
Nous ne sommes plus rien<br />
<br />
Il n'y a plus rien<br />
<br />
Des futals bien coupés sur lesquels lorgnent les gosses, certes !<br />
Des poitrines occupées<br />
Des ventres vacants<br />
Arrange-toi avec ça !<br />
<br />
Le sourire de ceux qui font chauffer leur gamelle sur les plages reconverties et démoustiquées<br />
C'est-à-dire en enfer, là où Dieu met ses lunettes noires pour ne pas risquer d'être reconnu par ses admirateurs<br />
Dieu est une idole, aussi !<br />
Sous les pavés il n'y a plus la plage<br />
Il y a l'enfer et la Sécurité<br />
Notre vraie vie n'est pas ailleurs, elle est ici<br />
Nous sommes au monde, on nous l'a assez dit<br />
N'en déplaise à la littérature<br />
<br />
Les mots, nous leur mettons des masques, un bâillon sur la tronche<br />
A l'encyclopédie, les mots !<br />
Et nous partons avec nos cris !<br />
Et voilà !<br />
<br />
Il n'y a plus rien... plus, plus rien<br />
<br />
Je suis un chien ?<br />
Perhaps !<br />
Je suis un rat<br />
Rien<br />
<br />
Avec le coeur battant jusqu'à la dernière battue<br />
<br />
Nous arrivons avec nos accessoires pour faire le ménage dans la tête des gens :<br />
"Apprends donc à te coucher tout nu !<br />
"Fous en l'air tes pantoufles !<br />
"Renverse tes chaises !<br />
"Mange debout !<br />
" Assois-toi sur des tonnes d'inconvenances et montre-toi à la fenêtre en gueulant des gueulantes de principe<br />
<br />
Si jamais tu t'aperçois que ta révolte s'encroûte et devient une habituelle révolte, alors,<br />
Sors<br />
Marche<br />
Crève<br />
Baise<br />
Aime enfin les arbres, les bêtes et détourne-toi du conforme et de l'inconforme<br />
Lâche ces notions, si ce sont des notions<br />
Rien ne vaut la peine de rien<br />
<br />
Il n'y a plus rien... plus, plus rien<br />
<br />
Invente des formules de nuit: CLN... C'est la nuit !<br />
Même au soleil, surtout au soleil, c'est la nuit<br />
Tu peux crever... Les gens ne retiendront même pas une de leur inspiration.<br />
Ils canaliseront sur toi leur air vicié en des regrets éternels puant le certificat d'études et le cathéchisme ombilical.<br />
C'est vraiment dégueulasse<br />
Ils te tairont, les gens.<br />
Les gens taisent l'autre, toujours.<br />
Regarde, à table, quand ils mangent...<br />
Ils s'engouffrent dans l'innomé<br />
Ils se dépassent eux-mêmes et s'en vont vers l'ordure et le rot ponctuel !<br />
<br />
La ponctuation de l'absurde, c'est bien ce renversement des réacteurs abdominaux, comme à l'atterrissage : on rote<br />
et on arrête le massacre.<br />
Sur les pistes de l'inconscient, il y a des balises baveuses toujours un peu se souvenant du frichti, de l'organe, du repu.<br />
<br />
Mes plus beaux souvenirs sont d'une autre planète<br />
Où les bouchers vendaient de l'homme à la criée<br />
<br />
Moi, je suis de la race ferroviaire qui regarde passer les vaches<br />
Si on ne mangeait pas les vaches, les moutons et les restes<br />
Nous ne connaîtrions ni les vaches, ni les moutons, ni les restes...<br />
Au bout du compte, on nous élève pour nous becqueter<br />
Alors, becquetons !<br />
Côte à l'os pour deux personnes, tu connais ?<br />
<br />
Heureusement il y a le lit : un parking !<br />
Tu viens, mon amour ?<br />
Et puis, c'est comme à la roulette : on mise, on mise...<br />
Si la roulette n'avait qu'un trou, on nous ferait miser quand même<br />
D'ailleurs, c'est ce qu'on fait !<br />
Je comprends les joueurs : ils ont trente-cinq chances de ne pas se faire mettre...<br />
Et ils mettent, ils mettent...<br />
Le drame, dans le couple, c'est qu'on est deux<br />
Et qu'il n'y a qu'un trou dans la roulette...<br />
<br />
Quand je vois un couple dans la rue, je change de trottoir<br />
<br />
Te marie pas<br />
Ne vote pas<br />
Sinon t'es coincé<br />
<br />
<br />
Elle était belle comme la révolte<br />
Nous l'avions dans les yeux,<br />
dans les bras dans nos futals<br />
Elle s'appelait l'imagination<br />
<br />
Elle dormait comme une morte, elle était comme morte<br />
Elle sommeillait<br />
On l'enterra de mémoire<br />
<br />
Dans le cocktail Molotov, il faut mettre du Martini, mon petit !<br />
<br />
Transbahutez vos idées comme de la drogue... Tu risques rien à la frontière<br />
Rien dans les mains<br />
Rien dans les poches<br />
<br />
Tout dans la tronche !<br />
<br />
- Vous n'avez rien à déclarer ?<br />
- Non.<br />
- Comment vous nommez-vous ?<br />
- Karl Marx.<br />
- Allez, passez !<br />
<br />
Nous partîmes... Nous étions une poignée...<br />
Nous nous retrouverons bientôt démunis, seuls, avec nos projets d'imagination dans le passé<br />
Ecoutez-les... Ecoutez-les...<br />
Ca rape comme le vin nouveau<br />
Nous partîmes... Nous étions une poignée<br />
Bientôt ça débordera sur les trottoirs<br />
La parlotte ça n'est pas un détonateur suffisant<br />
Le silence armé, c'est bien, mais il faut bien fermer sa gueule...<br />
Toutes des concierges !<br />
Ecoutez-les...<br />
<br />
Il n'y a plus rien<br />
<br />
Si les morts se levaient ?<br />
Hein ?<br />
<br />
Nous étions combien ?<br />
Ca ira !<br />
<br />
La tristesse, toujours la tristesse...<br />
<br />
Ils chantaient, ils chantaient...<br />
Dans les rues...<br />
<br />
Te marie pas Ceux de San Francisco, de Paris, de Milan<br />
Et ceux de Mexico<br />
Bras dessus bras dessous<br />
Bien accrochés au rêve<br />
<br />
Ne vote pas<br />
<br />
<br />
0 DC8 des Pélicans<br />
Cigognes qui partent à l'heure<br />
Labrador Lèvres des bisons<br />
J'invente en bas des rennes bleus<br />
En habit rouge du couchant<br />
Je vais à l'Ouest de ma mémoire<br />
Vers la Clarté vers la Clarté<br />
<br />
Je m'éclaire la Nuit dans le noir de mes nerfs<br />
Dans l'or de mes cheveux j'ai mis cent mille watts<br />
Des circuits sont en panne dans le fond de ma viande<br />
J'imagine le téléphone dans une lande<br />
Celle où nous nous voyons moi et moi<br />
Dans cette brume obscène au crépuscule teint<br />
Je ne suis qu'un voyant embarrassé de signes<br />
Mes circuits déconnectent<br />
Je ne suis qu'un binaire<br />
<br />
Mon fils, il faut lever le camp comme lève la pâte<br />
Il est tôt Lève-toi Prends du vin pour la route<br />
Dégaine-toi du rêve anxieux des biens assis<br />
Roule Roule mon fils vers l'étoile idéale<br />
Tu te rencontreras Tu te reconnaîtras<br />
Ton dessin devant toi, tu rentreras dedans<br />
La mue ça ses fait à l'envers dans ce monde inventif<br />
Tu reprendras ta voix de fille et chanteras Demain<br />
Retourne tes yeux au-dedans de toi<br />
Quand tu auras passé le mur du mur<br />
Quand tu auras autrepassé ta vision<br />
Alors tu verras rien<br />
<br />
Il n'y a plus rien<br />
<br />
Que les pères et les mères<br />
Que ceux qui t'ont fait<br />
Que ceux qui ont fait tous les autres<br />
Que les "monsieur"<br />
Que les "madame"<br />
Que les "assis" dans les velours glacés, soumis, mollasses<br />
Que ces horribles magasins bipèdes et roulants<br />
Qui portent tout en devanture<br />
Tous ceux-là à qui tu pourras dire :<br />
<br />
Monsieur !<br />
Madame !<br />
<br />
Laissez donc ces gens-là tranquilles<br />
Ces courbettes imaginées que vous leur inventez<br />
Ces désespoirs soumis<br />
Toute cette tristesse qui se lève le matin à heure fixe pour aller gagner VOS sous,<br />
Avec les poumons resserrés<br />
Les mains grandies par l'outrage et les bonnes moeurs<br />
Les yeux défaits par les veilles soucieuses...<br />
Et vous comptez vos sous ?<br />
Pardon.... LEURS sous !<br />
<br />
Ce qui vous déshonore<br />
C'est la propreté administrative, écologique dont vous tirez orgueil<br />
Dans vos salles de bains climatisées<br />
Dans vos bidets déserts<br />
En vos miroirs menteurs...<br />
<br />
Vous faites mentir les miroirs<br />
Vous êtes puissants au point de vous refléter tels que vous êtes<br />
Cravatés<br />
Envisonnés<br />
Empapaoutés de morgue et d'ennui dans l'eau verte qui descend<br />
des montagnes et que vous vous êtes arrangés pour soumettre<br />
A un point donné<br />
A heure fixe<br />
Pour vos narcissiques partouzes.<br />
Vous vous regardez et vous ne pouvez même plus vous reconnaître<br />
Tellement vous êtes beaux<br />
<br />
<br />
Et vous comptez vos sous<br />
En long<br />
En large<br />
En marge<br />
De ces salaires que vous lâchez avec précision<br />
Avec parcimonie<br />
J'allais dire "en douce" comme ces aquilons avant-coureurs et qui<br />
racontent les exploits du bol alimentaire, avec cet apparat vengeur<br />
et nivellateur qui empêche toute identification...<br />
Je veux dire que pour exploiter votre prochain, vous êtes les<br />
champions de l'anonymat.<br />
<br />
Les révolutions ? Parlons-en !<br />
Je veux parler des révolutions qu'on peut encore montrer<br />
Parce qu'elles vous servent,<br />
Parce qu'elles vous ont toujours servis,<br />
Ces révolutions de "l'histoire",<br />
Parce que les "histoires" ça vous amuse, avant de vous interesser,<br />
Et quand ça vous intéresse, il est trop tard, on vous dit qu'il s'en prépare une autre.<br />
Lorsque quelque chose d'inédit vous choque et vous gêne,<br />
Vous vous arrangez la veille, toujours la veille, pour retenir une place<br />
Dans un palace d'exilés, entouré du prestige des déracinés.<br />
Les racines profondes de ce pays, c'est Vous, paraît-il,<br />
Et quand on vous transbahute d'un "désordre de la rue", comme vous dites,<br />
à un "ordre nouveau" comme ils disent, vous vous faites greffer au retour et on vous salue.<br />
<br />
Depuis deux cent ans, vous prenez des billets pour les révolutions.<br />
Vous seriez même tentés d'y apporter votre petit panier,<br />
Pour n'en pas perdre une miette, n'est-ce-pas ?<br />
Et les "vauriens" qui vous amusent, ces "vauriens" qui vous dérangent aussi,<br />
on les enveloppe dans un fait divers pendant que vous enveloppez les "vôtres" dans un drapeau.<br />
<br />
Vous vous croyez toujours, vous autres, dans un haras !<br />
La race ça vous tient debout dans ce monde que vous avez assis.<br />
Vous avez le style du pouvoir<br />
Vous en arrivez même à vous parler à vous-mêmes<br />
Comme si vous parliez à vos subordonnés,<br />
De peur de quitter votre stature, vos boursouflures, de peur qu'on vous montre du doigt,<br />
dans les corridors de l'ennui, et qu'on se dise : "Tiens, il baisse, il va finir par se plier, par ramper"<br />
Soyez tranquilles ! Pour la reptation, vous êtes imbattables ; seulement, vous ne vous la concédez<br />
que dans la métaphore... Vous voulez bien vous allonger mais avec de l'allure,<br />
Cette "allure" que vous portez, Monsieur, à votre boutonnière,<br />
Et quand on sait ce qu'a pu vous coûter de silences aigres,<br />
De renvois mal aiguillés<br />
De demi-sourires séchés comme des larmes,<br />
Ce ruban malheureux et rouge comme la honte dont vous ne vous êtes jamais décidé à empourprer<br />
votre visage,<br />
Je me demande comment et pourquoi la Nature met<br />
Tant d'entêtement,<br />
Tant d'adresse<br />
Et tant d'indifférence biologique<br />
A faire que vos fils ressemblent à ce point à leurs pères,<br />
Depuis les jupes de vos femmes matrimoniaires<br />
Jusqu'aux salonnardes équivoques où vous les dressez à boire,<br />
Dans votre grand monde,<br />
A la coupe des bien-pensants.<br />
<br />
Moi, je suis un bâtard.<br />
Nous sommes tous des bâtards.<br />
Ce qui nous sépare, aujourd'hui, c'est que votre bâtardise à vous est sanctionnée par le code civil<br />
Sur lequel, avec votre permission, je me plais à cracher, avant de prendre congé.<br />
Soyez tranquilles, Vous ne risquez Rien<br />
<br />
Il n'y a plus rien<br />
<br />
Et ce rien, on vous le laisse !<br />
Foutez-vous en jusque-là, si vous pouvez,<br />
Nous, on peut pas.<br />
Un jour, dans dix mille ans,<br />
Quand vous ne serez plus là,<br />
Nous aurons TOUT<br />
Rien de vous<br />
Tout de nous<br />
Nous aurons eu le temps d'inventer la Vie, la Beauté, la Jeunesse,<br />
Les Larmes qui brilleront comme des émeraudes dans les yeux des filles,<br />
Le sourire des bêtes enfin détraquées,<br />
La priorité à Gauche, permettez !<br />
<br />
Nous ne mourrons plus de rien<br />
Nous vivrons de tout<br />
<br />
Et les microbes de la connerie que nous n'aurez pas manqué de nous léguer, montant<br />
De vos fumures<br />
De vos livres engrangés dans vos silothèques<br />
De vos documents publics<br />
De vos réglements d'administration pénitenciaire<br />
De vos décrets<br />
De vos prières, même,<br />
Tous ces microbes...<br />
Soyez tranquilles,<br />
Nous aurons déjà des machines pour les révoquer<br />
<br />
NOUS AURONS TOUT<br />
<br />
Dans dix mille ans
M
melusine
10/11/2006 08:56
ohhhhhhhhh<br />
un loup qui joue à "saute mouton"...<br />
t'as fait ça tout seul comme un grand????<br />
:))<br />
mine de rien...
Le Blog Qui Ne Sert A Rien !
Ce blog est un blog qui ne sert à rien. Trop souvent, je vois beaucoup de blogs qui se décrivent comme ne servant à rien. Autant en créer un qui ne serve à rien sauf pour tout le Monde. Et je dis bien pour tout le Monde !